La COVID-19 représente une menace grave pour la santé, et la situation évolue chaque jour. Le risque varie au sein d’une même communauté, et d’une communauté à l’autre, étant donné le nombre de cas au canada, le risque pour les canadiens est condiséré comme élevé.
La question des conséquences du COVID-19 n’en est plus une théorique. Depuis que l’Agence de la santé publique du Canada a reconnu la pandémie en mars 2020, les mesures n’ont cessé de se succéder. l’agence de la santé publique du canada travaille de paire avec les provinces et les territoires, et avec des partenaires internationaux, comme l’organisation mondiales de la Santé, pour surveiller la situation de près. Les efforts mondiaux visent à freiner l’épidémie et à prévenir la propagation du virus.
Fermetures de frontière jusqu’au 30 novembre 2020, suspension de certain programmes, etc. Quels sont les effets concrets des mesures de lutte contre la propension du virus en matière d’immigration au canada ?
Tout d’abord, les frontières terrestres et aériennes sont fermées respectivement jusqu’au 21 décembre et 30 novembre 2020. Toute personne arrivant au canada, quel que soit son pays de provenance ou son statut, doit obligatoirement respecter une période d’auto-isolement de 14 jours. Des vérifications seront menées par des agents dédiés, pouvant aboutir sur des amendes en cas de non-respect de l’isolement.
Il est actuellement impossible aux personnes n’étant ni résidentes permanents, ni Canadiennes, d’entrer au Canada. Cependant, il existe des exemptions que des travailleurs étrangers tempotaires et des étudiants internatinaux sont permis d’être entrer avec des conditions: les travaileurs étrangers tempotaires devraient disposer d’un permis d’études valide ou en possession d’une lettre d’introduction IRCC, à condition que leur voyage soit essentiel ; les étudiants internationaux avec un permis d’études valide ou une lettre d’introdution valide peuvent être exemptés des restrictions de voyage, à condition qu’ils étudient dans une EED dont le plan de lutte contre la Covid-19 a été approuvé.
Comme ce que dans autre pays pour l’instant, toute personne entrant au Canada se doit de porter un masque (ou à défaut un couvre-visage dès son arrivée sur le territoire, et ce, jusqu’à sa destination finale. A part du masque, l’application électronique est nécessaire également. A compter du 21 novembre 2020, les vayageurs entrant au canada par voie aérienne devront renseigner leurs informations par voie électronique, via l’application AriveCAN, avant leur arrivée au pays.
Si les gens faisent partie des exemptés d’interdiction de voyage au canada et qu’ils peuvent donc ils y rendre, il faut prendre un engagement à ses arrivées au pays. L’enjeu est important car ne pas respecter les consignes pourrait coûter jursuq’à 750 000 $ d’amende.
Sauf les mesures de protection, lorsque les gens arrivent au canada par voie aérienne, terrestre ou maritime, il faut évaluer l’état de santé au point d’entrée. Les ressortissant étranger qui présentent des sympômes de la COVID-19 sont interdit d’entrer au canada. Les gens avoir l’intention d’entrer devraient avoir un plan pour se placer en quarantaine pendant 14 jours dès arriver au canada, y compris l’endroit de séjourner, les moyens de se rendre à destination, etc. Ce plan est obligatoire, même si les gens n’ont aucun symptôme.
Sour l’influence de Coronavirus, l’état d’urgence sanitaire déclaré sur tout le territoire Québécois le 13 mars 2020 donne au gouvernement du Québec les pouvoirs nécessaire pour mettre en place l’ensemble des mesures visant à assurer la protection de la santé de la population et freiner la propagation du coronavirus.
A ces mesures, s’ajoutent les décisions du gouvernement du Canada concernant notamment la fermeture des frontières. Le ministère de l’immigration, de la Francisation et de l’intégratio (MIFI) suit de près l’évolution de la situation et mettre à jour continuellement des mesures.
Meme si affecté gravement par le maladie à coronavirus, le Ministère continue à traiter les demandes de sélection permanente, peu importe le programme dans le cadre duquel elles ont été présentées. Actuellement, le gouverneent ainsi que tous les ministères sont mobilisés pour freiner la propagation du virus et pour limiter les impacts de la crise sans précédent qu’il traverse. Cependant, le gouvernement canadien accepte toujours la plupart des demandes de résidence permanente avec des changements: la capacité de ce pay à les examiner et à les traiter est touchée par la COVID-19.
Le gouvernement canadien concentre en ce moment sur les demandes prioritaire, comme les canadiens qui rentrent au pays, les membres de groupes vulnérales et les demandeurs de permis de travail qui assurent ou soutiennent des services essentiels. En raison des répercussion de la maladie à coronavirus, le canada ne peut actuellement pas traiter les demandes normalement ou fournir des délais de traitement exacts. Par consequance, les mesures gouvernementales prises au cours des derniers jours pour répondre à la situation actuelle pourraient avoir une incidence sur les délais de traiteent des demandes.
En effet, selon une étude de l’Insee, la surmortalité due au Covid-19 deux fois plus forte chez les immigrés que chez les personnes nées au canada. L’agence canadienne des services frontialiers exécuter des mesures de renvoi exécutoire sous cette inquiétude. Chargée de ces renvois, l’Agence des services frontaliers du canada (ASFC) n’a plus de nouvelles de 34.700 étrangers, principalement des demandeurs d’asiles déboutés qui font l’objet d’une mesure de renvoi exécutoire, relève le Bureau du vérificateur général du Canada dans ce rapport.
Les 15.300 autres cas inscrits dans l’inventaire «des cas à traiter» visaient des personnes que l’Agence pouvait localiser, et qui étaient en attente d’expulsion souvent depuis plusieurs années, constate le rapport de la vérificatrice karen Gogan officier du parlement.
Selon le Bureau du vérificateur, l’accumulation de mesures de renvoi exécutoires est un problème qui perdure au sein de l’Agence des services frontaliers du Canada. La plupart des mesures étaient exécutoires depuis de nombres années et concernaient notamment des criminels et des demandeurs d’asile déboutés. Le rapport dénonce que des efforts de l’Agence freinés par la piètre qualité des données et par des faiblesses de base dans la gestion des cas, ce qui a entraîné des retards évitables dans le traitement de milliers de cas. Des déficiences dans l’échange d’informations avec le ministère de l’Immigration, des réfugiés et de la citoyenneté ont aussi retardé le traitement des cas.
Bibliographi :
1. https://www.quebec.ca/immigration/
2. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services
3. https://www.immigrer.com/voici-a-quoi-ressemble-un-plan-de-mise-en-quarantaine-a-votre-arrivee-au-canada-750-000-damende-en-cas-de-non-respect/
4. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/coronavirus-covid19/restrictions-exemptions-voyage.html#quarantaine