Dans la ville, le paysage temporaire apporte aussi au paysage urbain des changements directs. Maintenant, en ce qui concerne la planification de la ville, on fait souvent des paysages temporaires afin d’augmenter le vert de la ville, de changer la vie des citoyens et de faire la vie plus saine. Cela existe non seulement dans des pays européen et américain, mais aussi en Chine. Durant l’existence de cet espace, l’espace urbain connaît des changements éphémères.
3.2) L’espace du paysage temporaire de la ville
L’espace et le temps apparaissent en même temps et juxtaposent, mais on néglige souvent la fonction du temps et oublie la compréhension différente des cultures diversifiées sur.la notion du temps. Dans la vie quotidienne, on regroupe des milliers de paysages dans la ville qui dépassent souvent loin du zonage de la planification urbaine ou de la contrainte du prix de la terre.
Depuis 2010, il apparaît dans la ville Taipei pas mal de parcs verts, surtout dans Zhongzheng. Ces espaces verts constituent un beau paysage incroyable. Pourtant, dommage que les espaces verts de la ville soient un squelette des belles qui ne persistent pas pour toujours (la conception du squelette est un terme bouddhique destiné à éteindre l’envoûtement de la volupté). En fait, ces espaces verts n’apportent qu’un oubli temporaire de la multiplication du taux de capacité et la disparition de la mémoire sur la ville. Le parc vert est crée par la mairie de Taipei pour les Floralies internationales (l’Exposition internationale de fleurs et de plantes de 2010 de Taipei, est abrégée les Floralies de Taipei ou les Floralies internationales de Taipei. Cette exposition internationale a eu lieu du 6 novembre 2010 au 25 avril 2011 à Taipei de Taiwan. C'est la première exposition internationale de fleurs du niveau A2/B1 reconnue par AIPH. Profitant de cette exposition, la mairie de Taipei a bien l’intention de promouvoir une série de plans de renouvellement urbaine : cette « Série du beau Taipei », qui est apparemment considérée comme un plan de renouvellement idéal, a en fait des problèmes. Selon Shi Yingzhi, responsable de l’OURs (The Organization of Urban Re-s), le deuxième projet de la « Série du beau Taipei » qui s’attache apparemment à augmenter les espaces verts de la ville est en fait de vendre des espaces publiques précieux de Taipei. Il encourage le propriétaire des immeubles inutiles de démolir activement ces bâtiments, de vider de l’espace, d’y planter des arbres et des fleurs et de faire de cet endroit espace vert de nouvel immeuble. Et le terme est d'au moins 18 mois. De retour, la mairie donnera au propriétaire au plus 2% d’espace comme rémunération. Malheureusement, un tel « bon » projet fait souvent l'objet des gloutons, surtout des promoteurs immoraux. Ce qu'ils font souvent est d'acheter tout d’abord près de la zone du projet gouvernemental une petit maison, ensuit de demander la permission de l’autorité pour faire leur espace publique dans ce projet de renouvellement. Ainsi, on démolit cette maison inhabitable pour en faire espace vert du parc. On maintient cet espace vert pour 18 mois et construit dans le parc un grand immeuble. De ce fait, l’espace publique devient tout de suite l’espace privé. En même temps, grâce à la rémunération d’espace avant, on a droit de construire un immeuble beaucoup plus haut. Donc, le grand public stigmatise souvent leur gouvernement. A leurs yeux, le gouvernement crée en fait de faux parcs, vrais espaces privé. Selon le reportage, la mairie de Taipei a offert gratuitement 2,0000 m2 et a créé pour le moment 70 « faux parcs ». Si un m2 coûte 600,000 NT$, l’autorité a donné aux propriétaires 12 milliards NT$.
S’agissant des parcs faux et vrai, on pose quelques questions : qu’est-ce que c’est le vrai espace vert de la ville ? Comment on le définir en temps et en espace ? Le terme « espace vert » est-il une expression raisonnable pour caractériser le paysage naturel de la ville ? Dans la planification urbaine, le critère de la distinction des parcs faux et vrai est-il correct ?
Le faux parc provoque une grande controverse. En réalité, la méthode de l’espace vert à court terme n’est pas une nouvelle mesure gouvernementale, et Taipei n’est pas la première ville qui s’attache à changer d’apparence urbaine au moyen de la destruction des immeubles inutiles et de la création des espaces verts. Depuis ces dix ans, des villes telles que Penghu, Tainan, Taoyuan ont mis en œuvre l’une après l’autre des mesures de rémunération, comme la suppression de la taxe sur le prix foncier ou l’offre gratuit des espaces, en vue de promouvoir le changement du paysage et l’environnement urbains. Dès l’année 2002, Penghu a l’ambition de créer une « ville de parc » comme la Nouvelle-Zélande et l’Australie. On fait beaucoup d’efforts dans le projet « pâturage vert » afin de promouvoir le tourisme de la ville. Ce projet encourage les propriétaires de faire de leurs terres vacantes espaces verts ou de les louer au gouvernement pour construire des parcs (le bail est d’au moins 3 ans). De plus, il encourage aussi de démolir d’anciens immeubles et d’offrir gratuitement ces terrains comme des parcs ou des parkings pour au moins 2 ans. De retour, on aura une suppression de la taxe sur le prix foncier. L’année suivante, Penghu a mis en œuvre la mesure sur l’aménagement de terre privée. Pour la ville Tainan, on a le projet « Cap de Bonne Espérance » : depuis 2003, on a mis en œuvre la mesure pour la gestion autonome du terrain vague et des immeubles vacants et a encouragé l’utilisation de ces espaces comme espace vers, terrain de sport ou parking au moyen de rémunération d’espace. Jusqu’en 2010, il y a déjà environ 200 caps de bonne espérance. En ce qui concerne la ville Taoyuan, en 2004, on a une rémunération pour la construction des espaces verts, surtout pour la rémunération des espaces verts durant un à trois ans.
Cet « espace vert » ne prend qu’en considération visuellement le paysage urbain, au lieu de combiner ensemble la terre et le paysage naturel comme les ressources naturelles et de chercher leurs sens publique et écologique. Bien entendu, il est facile de gérer la terre vague et de démolir des immeubles vacants à travers l’espace vert, le parc ou le parking. Mais l’utilisation des terres est très étroite, comme un « bulldozer » balaie toute la terre. Ces « espaces verts » reflètent la valeur majeure de la classe moyenne, mais négligent ce dont les autres espèces de la ville ont besoin. Bien sûr, en ce qui concerne l’environnement naturel, les autres espèces n’exigent pas un pâturage vert et propre. Le vert de la ville, peut-il être des herbes ou des potagers ? En plus d’une couleur, le vert peut-il être une mode de vie qui pourrait la relation entre les gens et la relation entre les gens et les autres espèces ? Ainsi, la transformation du faux parc au vrai parc révèle les sens publique et écologique du vert.
Dans les pays européen et américain, l’utilisation des espaces temporaires se montrent de différentes manières. Après la crise financière dans le monde entier, comment traiter des projets arrêtés ou des espaces vacants font actuellement l’objet des villes européenne et américaine. Beaucoup de promoteurs recommencent leur développement attendent la reprise économique. De ce fait, on laisse dans le centre ville pas mal de terre vague, de chantiers déjà commencés, de chantiers pleins de terre posée ou de terrains vagues entourés. S’inquiétant beaucoup de la propreté des ces chantiers où deviendraient le berceau du crime, la mairie lance successivement toutes sortes de mesures et essaie de convaincre les promoteurs de faire de ces chantiers espace publique temporaire.
A Glasgow et Edinburgh d’Angleterre, la mairie fonde un projet spécial d’espace vert en vue de transformer des terrains vagues en espaces agricoles à court terme. Il y a aussi une commission qui s’occupe des affaires telles que la distribution de la terre, le conseil sur la culture. A travers le potager ou le fruitier de 3 à 5 ans, on cherche une issue en combinant l’économie de la communauté et l’écologie de la ville. Ces projets sont déjà beaucoup admirés et tant de citoyens ont exprimé le souhait de garder pour toujours ces espaces verts.
Aux Etats-Unis, depuis 2007, en ce qui concerne la planification urbaine, Washington a lancé « urbanisme temporaire » (temporary urbanism) : chercher pour les terrains vacants des utilisations diverses à court terme, telles que le parking, l’entrepôt et le jardin sur le toit pour recycler de la pluie…… A New York, il y a un terrain nommé directement « espace emprunté ». Ce terrain est une terre privée de 0.5 pied loué par la commission culturelle de Manhattan et est utilisé pour développer un espace artistique vert publique. Le bail de ce terrain commence de 2009 pour 2 ans. Prenant en compte du court terme, l’équipe de la construction interboro pourrait créer des équipements composés des boîtes mobiles, des murs mobiles et des équipements artistiques publics…… Enfin, on obtient un effet visuel extraordinaire. Pourtant, certaines personnes critiques que dans ce cas-là, les arbres peuvent pas bien grandir, et que cette mesure n’arrive pas à stimuler la communauté et des communautés de côté à participer dans le maintien du paysage. L’idée de ce design créatif est beaucoup appréciée, mais il manque de la participation et l’appréciation des citoyens.
En 2010, à Seattle, la commission de projet urbain de la mairie a lancé un concours nommé « modes du paysage temporaire de la ville » (holding patterns), on a cherché partout des idées pour changer le paysage urbain. Voici les projets lauréats : le parc de skateboard, le parc de parkour, la pépinière de communauté…… Au cours du concours, les sujets du concours sont des sujets publics, on invite aux citoyens de décider l’utilisation des espaces temporaire, au lieu de présupposer un seul mode de paysage. A ce moment-là, pour la mairie, elle cherche à gagner le droit d’utiliser ces espaces vacants, à allier ensuite des designers, les citoyens et les investisseurs pour la planification et la construction.
Quand on parle du paysage temporaire de la ville, il faut aborder du « paradoxe du parc de peuple » (people’s park paradox). Le parc de peuple se trouve au bord de l’Université Berkeley de California (University of California, Berkeley). La terre appartient à l’université. Depuis des décennies, ce parc est un paysage public considéré comme le symbole de la liberté d’expression, du doit des citoyens. Cela est lié aux activités des étudiants dans les années 60 pour lutter contre la guerre. A ce moment-là, l’université a eu l’intention d’interdire ces activités et de démolir ce parc. Ce qui a provoqué ensuite de violentes protestations. Enfin, l’université y a renoncé. D’où vient ainsi le terme « paradoxe du parc de peuple » (people’s park paradox). Concrètement dit, cette expression désigne une inquiétude pour des espaces temporaires bien appréciés du grand publique. Parce que l’appréciation forte du grand publique susciterait le souhait de garder pour toujours des espaces temporaires, qui influence le droit de propriété et qui dérangerait le projet de développement à long terme.
Pourtant, la crise des promoteurs touche un espace précieux. Cela révèle justement le problème clé pour l’urbanisme des villes modernes, soit que la planification est parfois en retard par rapport aux changements. Le développement de la ville est conduit par l’économie, il ne peut pas refléter le besoin et le sentiment réel des citoyens. Peut-être cette faute pourrait-elle montrer pour le développement une bonne direction.
Pour la ville San Francisco où se situe le « parc de peuple », on s’attache activement à un système pour empêcher le repassage de l’histoire. En 2010, San Francisco a passé l’« accord du développement vert » (green development agreement, GDA) pour 5 ans. A travers ce bail de 5 ans, on permet aux promoteurs de continuer leurs projets d’origine après ces 5 ans. Au contraire si les promoteurs ne peuvent pas commencer leurs projets selon le temps prévu, il leur faut renouveler chaque année leur demande. Cela fait perdre non seulement du temps mais aussi de l’argent. Et après, la mairie a mis en place une mesure favorable qui leur supprime le renouvellement de la demande de permission et encourage les promoteurs d’exploiter leur espace vacant au cas où l’utilisation de cet espace pourrait apporter à court terme au grand public des intérêts publics en ce qui concerne la vision, l’environnement et la culture. Les promoteurs peuvent investir eux-mêmes ou louer leur espace à court terme comme une partie publique ou aux autres entreprises privés. D’une part, cet accord stimule l’utilisation des terrains vacants et en profite à court terme, d’autre part on réussit à garantir le droit de propriétaire. Sinon, au cas du succès des espaces temporaires, les projets d’origine des propriétaires seraient beaucoup dérangés.
En raison du système ci-dessus, le paysage urbain pourrait être éphémère. Ce paysage temporaire peut durer longtemps ou bien en un peu de temps. Il peut être vrai ou faux. S’il est bien accueilli du grand public, cela suscitera l’inquiétude des promoteurs. Par contre, on doit réfléchir au sens public de l’espace publique. De ce fait, l’« accord du développement vert » (green development agreement, GDA) semble comme une stratégie paradoxale.
S’agissant du paysage public, il existe parmi le grand public pas mal d’activités spontanées amusantes. A Taipei, cela se manifeste par mouvement de guérilla vert. Par exemple, pour protester les « faux parcs », des étudiants de Taiwan ont organisé sur le facebook une activité de planter des arbres sous forme de flash. A travers ce mouvement, ces étudiants veulent bien révéler que les faux parcs n’ont pas du tout d’effets écologiques, et que sans l’utilisation de la communauté, on mettra en doute le sens public des espaces verts. De plus, l’association des jeunes de Taipei ont fondé le « groupe des guérillros des orangs-outans vert» qui s’attache à éveiller par faire du jardinage dans des zones publiques au grand publique l’importance des espaces publics et de la terre.
En matière des « faux parcs », ils ont à Taipei une vie de 18 mois, alors que dans des pays européen et américain, ils pourraient durer parfois environ 5 ans. On se divise en sur la question du temps : pour l’investisseur, il est suffisant pour circuler leurs actifs. Et pour le designer, les citoyens préfèrent les nouveautés plutôt que des choses d’anciens, 5 ans est suffisants pour eux perdre la curiosité d’un endroit. Mais pour certains, il faut au moins 5 ans pour la culture des plantes, pour dynamiser la communauté et pour améliorer la vie. Quel que soit le changement de la ville, l’important est la participation et la décision du grand public, non pas accepter passivement un bouquet de fleurs ou des herbes. Pour le temps, « le vrai » et « le faux » sont en fait deux notions relatives. Quel que soit temporaire ou à long terme, il est plus important que vous et moi participent plus réellement dans le changement de la ville.
Photographie des gestes intentionnellement posées par des citoyens dans des faux parcs. Interprétation en groupe : un plan quinquennal
Au moyen de poser avec exprès des gestes dans des faux parcs, on veut bien montrer que l’existence des faux parcs reflète l’absurdité de la ville. En 2009, on a mis des pyjamas destinés à mettre l’accent sur le corps, le vêtement et l’action. Les faux parcs se ressemblent aux tableaux assemblés qui n’assortissent pas au paysage urbain existant. Cela nous donne une impression de l’environnement mauvaisement et incorrectement placé.